Wednesday, August 16, 2006

A propos du Wilheim Gustloff

(Légende : Wilheim Gusloff, coulé avec près de 10.000 femmes et enfants à bord. Pour ce crime immonde, le commandant soviétique sera décoré et promu. Il ne faisait qu'obéir à la directive de Staline du 6 novembre 1941 sur l'extermination des Allemands)

Je m’étais dit que je ne parlerais pas de Günter Grass. Je n’aime pas les staliniens, surtout ceux qui jouent aux repentis… Pourtant, son dernier livre En Crabe brise certains tabous. Bien sûr, ne rêvons pas, on est encore loin de voir révéler toute la vérité sur la Seconde Guerre Mondiale. Cependant, pour la première fois, les crimes soviétiques commis contre l’Allemagne commencent à être révélés. Grass évoque l’un des plus abominables crimes de la Seconde Guerre Mondiale, le torpillage du paquebot allemand Wilheim Gustloff avec à son bord plus de 9.000 réfugiés fuyant le génocide des populations allemandes de Prusse. Il n’y a pas eu que ce paquebot martyr : les tragédies similaires du Von Steuben et du Goya se déroulèrent quelques jours plus tard. La première fois que j’ai entendu parler de cette tragédie, ce fut dans une brochure de Vincent Reynouard. Le drame des révisionnistes, c’est qu’ils sont des précurseurs. C’est un rôle qui n’est pas très bon : c’est toujours au premier chrétien qu’arrive le plus gros lion… Une faille s’est faite dans le mur du mensonge. A nous patriotes de ne pas se laisser confisquer nos découvertes. Il faut que tous les ennemis du système exigent des comptes, notamment aux divers gouvernements de collaboration avec l’occupant américain : nous voulons la vérité sur les projets anglais de gazage de la population allemande, sur les camps américains plus meurtriers qu’Auschwitz, sur la purification ethnique à l’Est, sur les massacres abominables commis contre les femmes et les enfants allemands par les Polonais en 1939 et 1945, sur la journée de l’horreur à Prague le 5 mai 1945 où la Croix Rouge s’est rendue coupable de complicité de génocide… Ne nous leurrons pas : si Grass a pu s’exprimer, c’est que le « Quisling Gouvernement » en place à Berlin y trouve son compte ainsi que ses maîtres…Montrons aux yeux du monde le vrai visage des Alliés : des criminels et des assassins qui ne valent pas mieux que les nazis ! Après tout, en quoi le génocide des Indiens au nom de la démocratie, celui des Aborigènes pour la plus grande gloire de la Grande-Bretagne ou la liquidation de classes sociales entières au nom du communisme était plus « moral » que l’hitlérisme ? L’ironie cruelle de la Seconde Guerre Mondiale a tout de même été le triomphe des idées national-socialistes.. par les Juifs eux-mêmes avec l’état d’Israël ! Les affiches de propagande américaine montraient l’Oncle Sam, pointant son index vers vous et déclarant « I WANT YOU ! ». Je te veux dans mon armée. Seulement, l’Oncle Samuel nous prend vraiment pour des andouilles. Il peut garder ses verroteries, nous ne sommes pas à vendre. En effet, s’ils étaient si pressés que cela de lutter contre l’islamisme, ils feraient tout pour empêcher la colonisation de la France. Quand Reagan lança la guerre idéologique totale contre l’URSS dès son accession à la présidence, il tendit la main à toutes les forces anticommunistes de la planète. Des films comme The Red Dawn, des jeux de rôles comme Price of Freedom, des livres comme Amerika intégraient dans la société des gens qui en étaient traditionnellement exclus. On y exaltait l’union nationale contre l’idéologie la plus meurtrière de l’histoire. Cependant, cette nouvelle politique Bush n’est pas celle de Reagan. Il s’agit juste de laisser aux exclus une toute petite marge de liberté en contrepartie de leur engagement total dans les projets de leurs pires ennemis. Soyons réalistes, demandons l’impossible ! Ne laissons pas les ennemis se refaire une virginité sur nos morts. Leur attitude n’est pas sincère. Ils n’en parent que pour s’attirer les bonnes grâce de l’Allemagne dont les mondialistes ont besoin pour le moment… Ne nous laissons pas piéger par Grass. S’il dérangeait vraiment le système, personne ne parlerait de ses livres. Fuyez comme la peste tout auteur plébiscité dans la presse : il mange à la gamelle. Un vrai rebelle, un vrai dissident crève de faim et de misère et, si par hasard les médiats parlent de lui, c’est pour le priver de sa dignité d’homme. Heureux les pauvres car le Royaume des Cieux leur est ouvert… Cela dit, nous devons nous servir du livre de Grass. Le brandir sur les toits en déclarant que cette vérité occultée, nous l’avions toujours révéler. Le livre se termine par un geste fort : un jeune nationaliste allemand, Konrad Pofrieke, venge deux fois Wilhiem Gustloff : le dignitaire assassiné en 1936 et le paquebot coulé en 1945… Quelle parabole que cette fin : le régime de haine et de mensonge tombera sous la lame de ses victimes. Comme quoi, faute de mieux, un stalinien peut même dire la vérité !

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